Enquète sur les Swyndir ( rp libre)

Ango se promenait a Lalamir, pour passé dans la ville il s'etait changé en un petit serpent de 10 cm et personne n'avait rien remarqué.
Il s'etais rechangé en humain ensuite, puis avec Nera il se promenait a la recherche des Swyndir qui avaient tué ses parents.
Il s'adressa a Nera, qui s'etais enroulée autour de son bras:
- Nera ça va tu n'a pas trop faim ?
Nera sifflait puis elle vint dire a son oreille dans un sifflement:
- ssss oui ssss mon chou ssssa va ssssss je ssssaisssss me débrouillée toute sssssseule pour chassssser ne t'inquiete passsssssss
Il caressa la tète de Nera qui émit un sifflement de bonheur , et s'enroula autour de son cou sans l'etrangler et lui lecha tendrement la joue de sa langue fourchue.Ango lui fit un sourire.Ils se comprenait mieux que personnes et avait le mème caractère.
Il continua de marcher sans se soucier des gens qui le montraient du doigt.

Ango vit un feu se propager dans le jardin en suivant l'incendie des yeux il devina non sans peine , qui l'avait propagé.
Un homme avec des cheuveux roux et un sourire ironique.Ango senté que quelque chose n'allait pas avec cet homme.
Il se dirigea vers lui, avec un regard plein de colère et une voix furax:
- eh toi la ça t'amuse de faire ce genre de choses
Nera , qui été autour de son cou, siffla a son oreille:
- je ssssssent chez cet homme une aura mauvaissssse, c'est un monsssssstre tres méchant pour avoir fait sssssssa
puis elle regarda l'homme droit dans les yeux et di avec un sifllement mauvais:
- ça te faisssss rire petit homme? ssssss pas moissss je vais me faire un plaisir de te tuer apresssss que tu ai repondu aux quesssstions d'Ango , je n'aime pas les méchantssssss
elle termina par un sifflement cruel.Ango savait qu'elle détésté ce genre de personne et prenait du plaisir a les voir souffrir.
Ango demanda a l'homme d'un ton dur:
-pourquoi as tu fais ça?

Ango eue un sourire cruel a la bouche:
- je vais te donner une bonne leçon

Ango se concentra et se métamorphosa en un enorme serpent de 70 cm.
Il darda sur le démon qui n'etais plus qu'un petit point, un regard mauvais:
-ssss tu va payer la mort de ces innocents
Ango attaqua alors, il prit le démon dans sa gigantesque gueule et le balanca au loin, l'homme s'ecrasa contre un arbre.
Ango reprit forme humaine puis Nera glissa jusqu'a l'homme assomé et le mordit au cou puis elle siffla:
- mon venin est vénimeux, tu a intérrer a trouver l'antidote tresssss vite ssssss
Puis, toute contente, elle revint se nicher sur les epaules d'Ango qui posa cette question a l'homme:
- connait tu les Swyndir?

Ango fut blesser a l'epaule par le couteau du démon.
Il retint un cri douloureux.Le sang giclait sur son epaule.
Nera, elle, été en colère, ces yeux été darder sur le démon si c'etais pistolets et si ils tirait des balles, ce démon surement mort depuis longtemps.
Il se rechangea en serpent , de cette fois ci, 60cm et poussant un sifflement strident , il siffla:
- je commence a en avoir marre de tes petits jeux, tu est lassant , mais je vais te renseigner tout de mème mème si cela ne me plait pas : c'est un couple sans enfant , ennemi de ma famille depuis longtemps,ils se sont enfuis après avoir tuer mes parents, et personne ne sait ou ils sont

sur ce, il cracha un jet de venin acidifiant sur le démon.
Il hésitait a se rechanger en homme... non .... avec un tel adversaire il devait garder sa forme de serpent géant... cela serait plus pratique et moin dangereux que d'etre sous sa forme d'homme.

Comme à chaque fois qu'il avait besoin de calme et de paix, Louis de Pointe du Lac se réfugia dans la cité de Lalamnir, le noyau de toutes les activités artistiques de TerraLunae. Le vampire des Lumières était à la recherche d'une taverne paisible où il pourrait tranquillement avancer dans la lecture de son livre. Mais sa quête de sérénité fut interrompue par les bruits d'une querelle, non loin de là. Louis, peu curieux de nature mais véritablement soucieux d'harmonie, se dirigea vers les deux opposants à l'étrange allure. Il reconnut d'abord avec quelques difficultés Baltazard Gold, l'Avare allié de Perséphone qu'il avait cru mort lors de la célèbre quête de Durandill; lequel arborait désormais une chevelure flamboyante et promenait avec avidité un regard plein de machiavélisme. L'Immortel semblait de fait bien différent de ce qu'il était auparavant : le vampire supputait qu'une aura démoniaque lui avait été inculquée au moment de son trépas, le faisant rejoindre les rangs de la terrible déesse des Enfers. Louis, ayant lui-même subi le joug de la Reine des Damnés, ne put retenir un soupir de lassitude. C'est alors que ses yeux rencontrèrent la silhouette de celui que combattait Baltazard Gold: à savoir, un sublime et blond jeune homme au troublant torse nu. Le vampire esthète ne pouvait qu'admirer la magnificence de ce bel éphèbe, mais ce fut la vision de la compagne écailleuse du jeune homme qui lui coupa presque littéralement le souffle. La serpente à l'éclat argentée se mouvait lascivement autour de son beau maître, et.....

"Comme le sable morne et l'azur des déserts,
Insensibles tous deux à l'humaine souffrance,
Comme les longs réseaux de la houle des mers,
Elle se développe avec indifférence." (C.Baudelaire)

Devant les yeux étonnés du buveur de sang, l'ange blond prit soudain l'apparence d'un serpent, à l'instar de sa compagne. Le vampire Louis ne put retenir un soudain élan d'amour, alors il s'approcha lentement du jeune homme transformé et de son reptile. Avec une douceur infinie, il caressa la noble tête serpentine, et, se penchant vers son maître, demanda dans un murmure:

-Qui êtes-vous beau métamorphe et quel nom porte cette magnifique créature?

Ango avait gardé sa forme de serpent, quand il entendit quelqun l'interpeller; d'une manière très courtoise, ce a quoi le métamorphe n'etais pas habitué.

Il se rechangea en humain , pour ne pas ecraser la personne.
C'etais un homme tout pale avec des cheuveux noirs accrochés avec un catogan, il avait un air très doux, et il caressa la tète de Nera, qui en siffler de plaisir.

Puis cet homme lui demanda quel été son nom et quel été le nom de Nera , il la complimenta sur sa beauté, il complimenta egalement la Beauté d'Ango celui ci se sentit très mal a l'aise et repliqua, d'une voix qui laissait exprimer cela:
- je m'appel Ango Snake
Nera regagna les epaules d'Ango et se présenta a son tour:
- ssss je m'appel Nera ssssss
Ango lui caressa le menton, puis il dit:
- dépécher vous de vous mettre a l'abri , moi et Nera nous sommes en plein combat

a ce moment, le soleil apparut et un rayon vint caresser le torse nu d'Ango, la chaleur du rayon lui redonna de la force pour combattre a nouveau, et il reparti au combat, se défendant de plus belle.

Baltazard Gold ne laissa pas Louis se présenter aux deux serpents qui venaient d'énoncer élégamment leurs noms et lança au vampire avec désinvolture:

-Eh, Gueule d'ange! Va-t-en. J'ai du travail sur les bras, si t'as pas remarqué. Je crois bien que la Patronne serait heureuse d'avoir notre ami le Serpentin à son service, mais pour cela il faut bien qu'il meurt, non? Alors soit tu m'aides, soit tu pars, Poltron.

Louis planta son regard dans les yeux goguenards du démon qui venait douloureusement de lui rappeler qu'il avait lui aussi été -peu de temps néanmoins- au service de la déesse des Enfers. Mais cela était révolu depuis que sa jeune pupille Lisette s'était offerte en échange de son créateur. Apparemment, le nouvelle de la libération de Louis du service infernal n'avait pas atteint les oreilles de cet orgueilleux Baltazard Gold. Le vampire décida de combler ce manque:

-Messire Gold......Toujours enchaîné à cette délicieuse pourriture de Perséphone? Moi, voyez-vous, j'en ai été libéré, grâce ou à cause d'une jeune vampiresse obstinée. Je pourrais tenter mille et uns tours pour tenter de vous raisonner mais je sais que votre dévotion à la déesse est sincère et inaltérable. Je vais donc faire appel au zeste d'humanité qui doit demeurer au fin fond de vous : comment pouvez-vous vouloir détruire deux créatures aussi éblouissantes? Cette attaque est non seulement un crime contre la morale, mais aussi un profond outrage à la beauté!

Louis se doutait bien que son intervention ne servirait à rien: les démons étaient en général terriblement bornés. Mais il avait tenté d'éveiller la conscience de ce pauvre damné et par cela la sienne était apaisée. Sa tirade ainsi énoncée, le vampire des Lumières se tourna vers l'opalescente Nera et le somptueux Ango Snake, qui avait recouvert son apparence humaine. Dans le parfaite tradition des coutumes de son époque, Louis de Pointe du Lac leur fit une élégante révérence avant de se présenter à eux :

-Mademoiselle et Monsieur, je me nomme Louis. Il fut un temps où j'étais le seigneur de Pointe du Lac, je ne suis désormais plus qu'un modeste poète errant. Mais je crois avoir interrompu quelque joute. Pardonnez-moi, je vais vous laisser terminer et faire fuir ce béotien, ensuite j'aimerai vous convier à une légère collation dans l'auberge de votre choix.

Conformément à ses dires, Louis se plaça en retrait par rapport au lieu du combat, dans le but d'attendre patiemment la fin de la querelle dont il ne connaissait d'ailleurs pas l'origine. La vue des deux silhouettes serpentines ramena à sa mémoire quelques vers d'un vieux poète français:

"Amants, ces doubles feux que vous mêlez ensemble
Ne sont que le portrait de ces deux feux jumeaux
Qui calment les courroux des bouillonnantes eaux,
Et rassurent la nef des vents dont elle tremble.

Puissiez vous, tout ainsi que ces germaines flammes,
Survivre l'un à l'autre et jamais ne mourir,
Sans pouvoir tour à tour vous entre secourir
D'âmes pour vos amours, et d'amour pour vos âmes." (J de SPONDE)

Ango avait valser plus loin sous les coups du démon, mais il se reprit et se rechangea en serpent gigantesque de 70 cm quand il vit que le dénommé Baltazar allait attaquer Louis, son sang ne fit qu'un tour dans ces veines et il se placa devant Louis et dit a Baltazar:
- touche le et tu a affaire a moi espèce de sale démon , il a beau avoir un language bizarre il n'a rien fait
Ango n'aimait pas qu'on touche aux gens , aux innocents.
Nera sifflé , elle été folle de rage, elle siffla cruellement a l'adresse de Baltazar:
- je suissss une ssssserpente trèsssss douce quand je le veut quand je donne la mort

Ango se servit de sa queue comme d'un fouet , d'un coup de sa puissante et gigantesque queue il projeta Baltazar violement contre le mur d'une maison, assez loin d'eux.Il se rechangea en humain et arborait un sourire cruel sur baltazar
Il se tourna vers Louis:
- vous parler un language bizarre quand meme,j'accepte votre invitation mais attendez que j'en finisse avec cet homme
il été très mal a l'aise a l'idée de " diner" avec un homme comme cela

Perdu dans ses pensées pleines de poésie, Louis entendit à peine le flux de fiel qui sortait de la bouche de Baltazard Gold. Il commençait néanmoins à en avoir assez de ce surnom stupide : "Gueule d'ange"; car il savait bien que sa beauté était à l'origine de son infortune, s'il n'avait pas eut ce physique, il n'aurait jamais été choisi par son créateur pour devenir un enfant des ténèbres. Lui-même était un esthète depuis son plus jeune âge. Il devait exister un lien étrange entre la beauté et le vampirisme, ou peut-être seulement entre la beauté et la mort, comme l'a si bien illustré le grand poète post-romantique en son temps:

"Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre,
Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour,
Est fait pour inspirer au poète un amour
Éternel et muet ainsi que la matière."(C.Baudelaire)

Le vampire avait du se réfugier dans un coin d'ombre presque instinctivement car il entendit, cette fois clairement, l'Avare démoniaque l'appeler depuis le lieu de la lutte:

-Ou tu te trouves, Le Poltron? Je ne vais pas me contenter que de l'autre Serpentin. Montre-toi!!!!! Je sais que tu n'es pas mort!!!!

Louis ne put s'empêcher de rire doucement : il ne savait pas l'ex-banquier si sarcastique. Mort, il l'était depuis bien longtemps, et pourtant il était désespérément vivace pour un cadavre. Il existe un genre d'humour noir qui ne fait rire que les démons et les vampires. Louis fut agréablement surpris de voir Snake Ango et Nera prendre sa défense : on a peu d'amis quand on est un buveur de sang, il est toujours appréciable de provoquer la sympathie (même chez ceux qui ignorent votre vraie nature). Néanmoins, le vampire ne prêta guère attention à l'échange brutal entre les métamorphes, il n'avait jamais été un grand amateur de combats. Il sourit en entendant le bel éphèbe lui répondre, même s'il décernait une légère hésitation dans sa voix.

- Vous parlez un langage bizarre quand même, j'accepte votre invitation mais attendez que
j'en finisse avec cet homme.

-Fort bien! Je vais me placer en retrait et avancer ma lecture en vous attendant. (Puis se tournant vers Baltazard Gold) Vous saluerez chaleureusement la belle Perséphone pour moi....

Ango lui dit, cruellement:
- mais oui c'est ça comme si j'allais te donner ma vie je suis pas idiot, si tu en a marre dis moi pourquoi tu n'arrete pas le combat?

il reussit a se relevé et lui dit:
- t'est pitoyable pauvre garçon, tu agit comme une marionette sans ame , mais tu est.... idiot ou simple d'esprit, mais je commence vraiment a me lassé de ce petit combat qui mène nulle part alors disparez avant que je ne te chasse

Ango commencer a en avoir marre de ce combat, sa le gonfler plus qu'autre chose ; quand a Nera, elle sifller toujour et regarda le démon en disant:
- sssss c'esssst toi qui essssst pitoyable pas moi

A peine Louis s'était-il confortablement installé sur une roche granuleuse et avait-il repris sa lecture, que le démon belliqueux recommença à l'agresser. L'Avare, fumeur et fumiste l'interpella et le provoqua verbalement de manière pour le moins outrageante:

-T'es gonflé, Gueule d'ange. Mais
tu n'échappera pas au combat comme tu le fait toujours, Lâche.

Baltazard Gold ne prit pas le temps de constater de l'effet provoquer par sa tirade et se rua sur Ango Snake. Louis, pressentant une autre vilénie de la part du démon se releva et rangea son livre à regret. Son instinct avait dit vrai car quelques instant plus tard, l'infâme apparut derrière lui sans crier gare. Étonné par la ténacité de l'Avare, Louis se retourna, se retrouvant devant l'ennemi et sa lame. Celui-ci lui lança un bref clin d'oeil avant de lancer des coups d'épée, de ci delà à l'aveuglette. Le vampire recula aussitôt que l'attaque commença, à la fois déçu et blessé par l'attitude grossière de l'attaquant. Il avait toujours cru que les lois du combat interdisaient à quiconque d'attaquer quelqu'un pat derrière mais il aurait du savoir que les démons de Perséphone combattaient avec leurs propres lois. Le démon, dans sa folie, ne fit même pas attention à celui qu'il venait d'attaquer pour s'en prendre de nouveau au beau métamorphe et à sa compagne. Mais Baltazard Gold usa de son propre sang pour ce faire, ce qu'il ne fallait jamais faire en présence d'un vampire, surtout en présence de Louis, qui était trop souvent sevré de ce nectar vital. L'odeur et la vue du sang firent frissonner le vampire : cela faisait plusieurs nuits qu'il ne s'était sustenté et la faim se rappela à lui dans une douleur lancinante. Il tenta de se raisonner, mais l'attitude meurtrière de Baltazard Gold lui donnait encore plus l'envie de s'en prendre à lui. IL entendit Ango tenter lui aussi de calmer le démon, mais Louis savait que cela ne servirait encore à rien. C'est alors que pour la première fois depuis des lustres, il voulut délibérément, par désir et par colère, prendre le sang d'un être d'apparence humaine. Comme une ombre il se glissa derrière le démon et par sa force surnaturelle maintint l'ignoble dans l'étau de ses bras. Sans autre forme de préambule, il planta vigoureusement ses deux crocs dans la gorge palpitante de l'ex-Avare et but plusieurs gorgées d'un sang délicieux mais ponctuée d'une saveur putride, qui venait sans doute de la nature démoniaque de sa victime. Mais Louis ne voulait pas tuer Balatazard Gold : il le lâcha donc au bout d'un moment, troublé par la violence de son geste. Il garda les yeux fixés un instant sur la blessure dans le cou de son ennemi et se mit alors à penser au "dormeur du val":

"Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le
soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges
au côté droit."(A.Rimbaud)

Louis lécha l'excédent de sang qui s'échappait de ses lèvres avant de déclarer au démon d'une voix forte:

-C'en est assez de vos provocations et de vos attaques, Monsieur Gold. Quittez cet endroit sur l'heure et ne troublez plus la vie des braves gens. Quoique vous en pensiez, je n'aurais aucun scrupule à vous ôter une fois de plus quelques lampée de ce sang souillé qui est le votre.........

(HRP:Dit Ango, tu lit dans les pensées ou quoi? Baltazard n'a jamais dit a Nera qu'elle était pitoyable a voix haute, et il n'a jamais dit qu'il en avait marre de ce combat a voix haute. Bon, je passe sur ça mais te mélange pas les pinceaux hein^^)

Baltazard lâcha une autre bouffée de fumée, remettant un peu la fleurs rouge sur sa poitrine en place. Le démon ne faisait qu'attaquer a tours de rôle ses deux adversaires, ne faisant même pas attention a celui qu'il délaisser quand il attaquer l'autre. Il savait que cette tactique était plutôt imprudente, mais c'était comme ça que Baltazard agissait. En réalité, il ne savait pas que son corps et son esprit n'avait pas l'habitude de se battre. Oui, le démon ignorait qu'en réalité il était une autre personne et que cette personne ne se battait pratiquement jamais. Mais le démon qu'était Baltazard était justemment en train de s'échauffer. Il allait bientôt faire ressortir toute sa nature démoniaque, laisser de coté les tactiques minables d'intimidations et passer aux tactiques d'exterminations. Baltazard n'aimait pas se battre face a deux si puissants adversaires, mais il avait une obssession qu'il ne lâcherait pas avant longtemp: Tuer Ango et le ramener a la Patronne. Et si pour se faire il devait tuer Louis, cela ne serait pas un probléme pour Perséphone mais plutôt un cadeau bonus. Baltazard entendit a peine le Serpentin qui lui parlait. Il jeta un regard noir a Ango, espérant qu'il comprendrait une bonne fois pour toute.

-Je te l'ai déja dit, je suis un démon, petit minable. Je suis fait pour me battre, fait pour tuer, fait pour asticoter, fait pour énerver, mettre en fureur, semer le chaos! C'est dans ma nature, j'y peut rien missieu le Serpentin. Ce combat méne parfaitement quelque part: Ta mort ou ta survie. T'a toujours rien compris? Tu te bat pour ta survie. Gros naze, t'es même pire que la Gueule d'Ange. Ah, tous les mêmes. Pas un pour rattraper l'autre, vous êtes tous de poltrons, hein???

Il éclata d'un rire moqueur, qui ne dura pas bien longtemp. Baltazard sentit un mouvement dérriére lui, et ne put se retourner a temps. La Gueule d'Ange avait bouger, finalement. Le démon usa de son incroyable forme démoniaque pour essayer de se dégager de la force naturelle du Vampire, mais il ne réussit qu'a faire bouger avec violence Louis sans le faire lâcher prise. Quand celui-ci planta ses crocs dans sa chair, Baltazard s'immobilisa complétement. Un mince sourire s'étira sur ses lévres, et il éclata de nouveau de rire mais de plus en plus fort alors que Louis buvait un peu de son sang. Quiquonque auraitvu Baltazard a ce moment-là l'aurait crut fou. La gueule d'ange se retira aprés quelques minutes interminables. Le démon se toucha la gorge a l'endroit de la morsure, les yeux dans le vague. Il avait toujours le sourire.

-Alors tu t'es enfin décidé? A la bonne heure! Moi qui croyait que t'en aurait jamais l'audace. Tu voit que t'es mauvais, au fond. Imagine tout les ravages que tu pourrait faire, tout en te délectant de sang! Si t'était pas si Poltron, Gueule D'Ange, tu vivrait bien sous le régne de Perséphone!

Les yeux de Baltazard se tintérent d'une légére lueur rouge, tandis que sa bouche forma un rictus démesurément grand. Il leva son poignard de la taille d'une épée, le faisant tournoyer au-dessus de sa tête. Puis il frappa. Le démon disparut rapidement, apparaissant a trois endroits a la fois. Il y avait trois Baltazard, mais un seul d'entre eux était le vrai. Un démon prés de Louis, un autre prés d'Ango, et pour finir un troisiéme entre les deux. Le temps que tout le monde réalise qu'en fait aucun des trois n'étaient le bon, Le vrai Baltazard surgit tranchant le torse de Louis et envoyant valdinguer Ango dans un arbre avec une force invisible. Les autres doubles disparurent, et Baltazard disparut lui aussi. Sa voix retentit de nulle part, cachée. Oui, Le démon ne lâcherait pas ce combat. Ses ennemis pouvaient fuir, bien entendu, mais lui il ne fuirait pas.

-Belle journée, n'estce pas?

Ango avait atteri dans un arbre.
Quand il vit Louis se faire blesser, son sang ne fit qu'un tour.
Il se changea en serpent de 70 cm prit Baltazar par la tète, lui fit faire un vol plané et l'envoya violement contre une maison.
Puis soudain une petite voix se fit entendre:
- s'il vous plait monsieur arretez de vous battre... jai peur
il baissa la tète vers une petite fille qui sucauté un doudou , un ours en peluche.Elle été vraiment minuscule.
Il ne put s'empecher d'etre attendri devant la face térrifié de la gamine.
Nera regarda l'enfant , elle aussi été attendrie, bien qu'etant une dure a cuire elle ne le montrait pas.
Il se glissa voluptueusement vers elle et se pencha car il mesurait 70 cm pour lui sifflé avec douceur:
- ssss maissss tu n'a rien a craindre mon enfant, je suisssss la
il se rechangea en humain et elle se serra contre lui en pleurant . Ango sentait la chaleur de la joue de l'enfant sur son torse nu, il sentait les larmes aussi.

Louis commença à se sentir coupable de son geste sanguinaire : il s'était pourtant juré de ne jamais re-boire du sang humain. Mais, en un sens, Baltazard Gold n'avait plus rien d'humain depuis qu'il avait rejoint les rangs des démons infernaux. De plus, celui-ci ne semblait trop blessé ni même affaibli par l'attaque du vampire : pire, cela semblait lui plaire de voir Louis enfin réagir à ses provocations. L'ex-Avare s'avança vers lui, son épée voltigeant dans les airs au dessus de lui avant d'abattre la lame aiguisée sur Louis. Celui-ci se recula in extremis, prêt à contre-attaquer, mais le démon disparut un instant avant de se décupler en trois silhouette distincte, éparpillées autour du métamorphe et du vampire. Louis sonda l'esprit de chacun d'eux, puis constata avec stupeur qu'aucun des trois Baltazard Gold n'était véritablement lui-même. Ainsi, le vampire n'eut pas le temps de contrer le véritable démon, qui en l'espace d'un instant réapparut pour lui asséner un violent coup de poignard dans le torse. Louis en eut le souffle coupé et sentit son sang se répandre. Cette blessure allait mettre du temps avant de se cicatriser, il essaya donc de rassembler ces forces vampiriques afin d'accélérer la régénération des tissus. Mais il perdait beaucoup de sang et espérait qu'il lui en resterait suffisamment pour ne pas avoir besoin de drainer quelque chien de rue. Le vampire des Lumières ferma les yeux se recroquevilla sur lui-même : ce n'était pas tant qu'il souffrait, mais il avait besoin de se concentrer pour sa guérison. Sentant le processus sur la bonne voie, Louis rouvrit les yeux et constata que le démon, et ses clones avec lui, avait disparu. Il aperçut également le bel éphèbe métamorphe qui tentait de rassurer une petite mortelle en larmes. Ce maudit démon avait semé la panique sur son passage : jamais Louis ne comprendrait ni ne cautionnerait un tel comportement. S'il y avait bien une chose qu'il méprisait c'était la violence gratuite. Le vampire esthète se releva, ignorant la douleur aiguë qui demeurait dans sa cage thoracique. Il décida qu'il était temps de donner à cet infâme personnage une leçon de bonne conduite. Ainsi, il interpella son ennemi désormais absent :

-N'avez-vous point honte, monsieur Gold? Vous nous attaquez sans la moindre raison puis fuyez quand la querelle se corse? Non seulement, vous êtes lâche, mais pire encore vous êtes irrespectueux!

Aussitôt ces paroles furent-elles énoncées qu'il les regretta. Ne se montrait-il pas orgueilleux? Il est vrai que les récents évènements lui faisait se sentir comme un martyr, un combattant élu. Louis se maudit intérieurement de sa vanité en se remémorant quelques vers :

"Oui, pour modèle ayant le martyr de Sion,
J'achèverai ma lutte,
Et
je continuerai la rude ascension
Qui ressemble à la chute.

Suivre
la vérité me suffit ; sans rien voir
Que le grand but sublime,
Je
marche, en deuil, mais fier ; derrière le devoir
Je vais droit à
l'abîme." (V.HUGO)

(Snake, j'avait disparu de ton champs de vision..... Bon, faisont comme si il n'y avait rien eu )

Baltazard observa avec un sadisme évident la scéne depuis son perchoir, c'est a dire depuis un nuage dont il avait calculé avec certitude le taux de solidité et puis il avait toujours eu des connaissances en météo démoniaque, c'est pourquoi le nuage en question était d'un noir profond. Le démon pouvait faire tomber de la lave en fusion comme si c'était de la pluie, balancer une ou deux météorite ou encore envoyer des éclairs verts qui ravageraient tout sur leurs passages. Mais pour l'heure, il ne voulait pas abîmer les deux autres. Non, il avait juste besoin de leurs corps en bon état juste la gorge tranché au préalable. Louis avait survécu a son coup de poignard, et avait même réussit a se régénérer. Il lui adressa alors des propos hilarants pour Baltazard. Depuis tout a l'heure, Baltazard avait énumérer les raisons qui le pousser s'attaquer aux deux autres: Ils étaient de futurs potentiels serviteurs fidéles pour Perséphone, cela amusait le démon de s'attaquer aux gens, c'était son boulot, c'était dans sa nature de démon de semer le chaos..... Si il devait toutes les dires, il en aurait pour une heure a leurs donner ses raisons. Le démon aperçut alors un minuscule petit être, une petite fille en larmes. Son esprit démoniaque ne fit que trois petits tours avant qu'il ne disparaissent de son nuage et ne réaparaissent a coté de Louis, une main sur son épaule et approchant ses lévres de son orreille.

-Aurait-tu une explication plausible au fait que j'ai l'impression d'avoir vécu une autre vie avant celle-la? Pourtant, j'ai toujours était démon. Toi qui est si fort, Gueule d'Ange, répond a cette simple équation que je t'ai posé.

Et il disparut aussitôt pour réaparaitre en face de Ango, sa tête si proche de la sienne qu'il aurait pu éffleurer ses lévres. Le démon fit un rictus au Métamorphe, puis jeta un regard a la gamine dans ses bras. Il était agenouillé, comme Ango, puis il lâcha une bouffée de fumée au visage du Serpentin. En l'espace d'une seconde, Baltazard caressa doucement la joue de la gamine avant d'envoyer un coup de talon au visage d'Ango. Le démon en profita pour arracher rapidement la petite fille des mains du métamorphe alors que celle-ci pleurer de toute les larmes de son coeur. Baltazard éclata de rire au son des sanglots de sa captive. Il jeta un regard aux deux autres, sourire en coin.

-Je vous enverrer une carte postale depuis les enfers, histoire que vous voyez ce que je vais lui faire subir. A le revoyure, les nazes.

Le démon leur fit un geste nonchalant de la main en disparaissant dans un panache de fumée, son rire retentissant encore dans l'espace, recouvrant les pleurs de la gamine térrifié.

(Bye Bye, a la revoyure pour un prochain rp^^)

Ango occupé a réconforté la petite, ne vit pas que Baltazar été derriere et quand il realisa enfin: c'etais trop tard la petite fille il l'avait deja prise.En plus il lui avait mis un coup dans la machoire.
Ango été un peu abattu , sans parler de Nera:
- il va me le payer ce sssssalop
elle risquait de devenir un démon elle aussi, Ango pour la première fois de sa vie été abattu.Mais il reprit vite son bon moral.
Il demanda:
- Louis on doit libéré la gamine, tous les deux, j'éspère qu'il ne lui fera pas de mal
Nera, elle,sifflée et caressa la main de Louis de sa langue fourchue, puis elle caressa la joue d'Ango:
- tu a faisss ce que tu a pu, et moi ausssssi
puis elle rajouta, avec un sifflement cruel:
- quand je le tiendraissss , je vaissss le torturer
Ango lui aussi eue un sourire cruel, il allait lui aussi le torturé a mort , rien qu'a cette pensée son sourire s'etira.Puis il demanda a Louis:
- dis moi est ce que tu connais les Swendyr?

Louis s'attendait à ce que le démon réapparaissent pour l'attaquer violemment après ces paroles provocantes. Ainsi, il se tenait fin prêt, les sens en alerte, guettant le retour de Baltazard Gold. Le démon ne se fit pas prier plus longtemps et apparut soudainement aux côtés du vampire, lui posant presque fraternellement une main sur l'épaule. Les paroles du démon intriguèrent Louis : ainsi, Monsieur Gold n'avait aucun souvenir de sa vie d'avant, il croyait être né démon. Voilà une nouvelle preuve des ambitions funestes de la déesse Perséphone, qui une fois de plus usait d'un sortilège d'oubli pour s'assurer un bon fonctionnement parmi ses esclaves. Le vampire était sur le point de répondre à la question de Baltazard Gold, mais celui-ci avait rejoint Ango. Louis s'avança alors vers lui et lui annonça :

-Moi qui vous croyait un Avare de grande prestance...N'êtes-vous vraiment pas le célèbre banquier qui fait tourner toute l'économie de TerraLunae? Comment avez-vous pu oublier votre gloire d'antan? Se pourrait-il que votre chère patronne vous ait caché voire effacé certains souvenirs? C'est à elle que vous devez vous adresser, je ne doute pas qu'elle sache très bien de quoi il retourne......

Après avoir entendu ces réponses pour le moins explicites, le démon s'attaqua alors violemment à Ango et attraper la frêle enfant que celui-ci tentait de protéger. Louis s'avança pour intervenir, mais déjà le démon avait disparu dans un voile de fumée rougeâtre et une réplique bien sentie. Le vampire serra le poing, une fois de plus irrité par sa propre impuissance face aux sbires de la déesse. Il jeta un coup d'œil au garçon et sa compagne avant de se pencher sur eux. La serpente semblait tout particulièrement furieuse. Louis acquiesça à la demande d'Ango mais sans grande conviction : les démons ne sont pas faciles à retrouver, il n'y avait que peu d'espoir de revoir un jour cette enfant saine et sauve. Le vampire baissait la tête prêt à avouer au jeune homme qu'il n'était pas aussi optimiste que lui, quand Ango lui posa une question à laquelle il ne s'attendait pas :

- Dis moi est ce que tu connais les Swindyr?

Louis en aurait eu le souffle coupé s'il avait encore été en vie : il avait certes déjà entendu ce nom "Swyndir". Il s'agissait d'un couple de buveurs de sangs bien connus de leur congénères pour leur cruauté innommable et leur complet mépris des mortels. Plus tard, durant son séjour aux Enfers, il avait entendu des prisonniers du Tartare appeler leur nom, les priant de les libérer des geôles infernales. Mais Louis n'osa pas répondre de telles choses devant le regard avide du jeune homme et sa visible infortune après la bataille. Restant calme, il tendit la main au garçon et l'aida à se lever. Par la suite, il l'entraina avec sa serpente vers une petite taverne non loin de là où il leur trouva une table au fond de l'échoppe. Louis commanda un thé à Ango et un autre pour lui, histoire de ne pas attirer l'attention sur sa nature vampirique. Il n'en boirai certes pas, mais il en appréciait néanmoins le fumet et la chaleur. Sentant le regard du garçon peser sur lui, le vampire commença :

-Oui, je sais qui sont les Swyndir. Je ne les ai fort heureusement jamais rencontrés en personne, mais j'ai entendu beaucoup de choses à leur sujet. La plupart des membres de ma "famille" les ont en horreur. Au cours de ma brève excursion aux Enfers, j'ai pu me faire une idée du genre d'individus qu'ils étaient.....

Louis prit une pause dans sa narration et invita d'un geste de la main le garçon à entamer sa tasse de thé. Pendant qu'Ango sirotait sa boisson, le vampire rassembla les informations qu'il avait à leur sujet : son créateur Lestat lui avait dit de se méfier par dessus tout des Swyndir, qu'ils n'étaient pas des membres honorables de la famille vampiriques. Car Myriam et Wilfried Swyndir, n'étaient pas seulement des vampires sans foi ni lois : il s'agissait aussi de mages noirs de la pire espèce. Le vampire esthète reprit la parole :

-On raconte que ce sont les deux plus grands criminels de tout TerraLunae, bien qu'on ne sache pas grand chose de leur méfaits. Leurs techniques sont mystérieuses et ils sont très ingénieux : voilà pourquoi on a jamais pu mettre la main dessus. Je ne connais rien de leurs ambitions ni de leur vision du monde. Tout ce que je peux vous dire c'est qu'ils sont très vieux : ils appartiennent à une certaine communauté immortelle........Mais dites moi, cher métamorphe, pourquoi les cherchez-vous?

Ango s'etrangla avec son thé en entendant cela.Les deux plus grands criminels avait tuer ces parents !!! et ils été des vampires.
Nera siffla:
- j'en étaissss sssssur qu'ilsssss n'etaissss pas normaux sssss il faut les retrouver et leur faire payer la mort de tes parentsssssss sssssss
Ango serra son poing sur sa table :
- je suis prèt a tout pour leur faire payer la mort de mes parents, merci Louis de ton aide ça fais plaisir , au moin tu est la premiere personne a ne pas m'avoir attaqué moi et Nera, ça je te le dois mon cher malgré tes manieres bizarres de t'exprimer
il se détendit , tandis que Nera voluptueusement glissait sur son cou et siffler doucement.

Louis ne s'attendait pas à une telle réaction de la part du jeune homme : ces informations l'avaient-elles donc tant choqué? Mais le vampire des Lumières comprit bien vite, à la confession du garçon, les raisons de cette réactions : il avait été indirectement une victime de ces horribles Swyndir. Le bel éphèbe était en quête de vengeance, avide d'essuyer un crime commis sur ses parents. Louis pouvait comprendre de tels sentiments, lui même était bien souvent en proie à ce genre de sentiments, bien que lui se venge sur lui-même. Le vampire esthète approcha sa main du métamorphe et lui caressa doucement le joue avant de lui réciter un poème qu'il jugeait particulièrement adapté aux sentiments et ambitions du jeune homme :

"-Exaspère sinistrement ta toute exsangue
Carcasse et pousse au vent, par des chemins rougis
De sang, ta course ; et flaire et lèche avec ta langue
Ta plaie, et lutte et butte et tombe - et ressurgis !

Tu n'en peux plus et tu n'espères plus ; qu'importe !
Puisque ta haine immense encor hennit son deuil,
Puisque le sort t'enrage et que tu n'es pas morte
Et que ton mal cinglé se cabre en ton orgueil." (E. Verhaeren)

Ango......ne vous laissez pas dévorer par cette haine délétère. Un jeune homme tel que vous a bien d'autres choses à faire que traquer deux criminels par ailleurs invulnérables....