Les écrits pour le moins étranges de Thor Le Tout-Puissant

Voili Voilou, ici sera exposé mes écrits trés trés étrange et parfois ridicule^^ Mes écrits sont célébre dans le nord, alors le premier qui se moque se prendra un éclair. Merci bien de venir contempler mes compositions^^ Voici une, ceux qui ont lus Everworl la connaissent peut'etre, ce n'est pas une invention mais j'ai envie de la montrer tellement elle est sympa^^

La Norvégienne

"Allons enfants de la Norvége
Le jour de gloire est arrivé
Contre nous de nos ennemis l'étendard sanglant élevé
Entendez-vous au fond des fjords
Rugir les féroces guerriers
Qui viennent armés de leurs épées
Conquérir les flots des mers du nord?
Aux armes, Norvégiens, Montez dans vos drakkars
Voguez, Voguez sur l'océan
Jusqu'a la fin des temps, fin des temps"

Je posterai mes propres compositions plus tard^^

C'était un barbare....

C'était un barbare....
Noir comme le charbon
Avec des yeux ronds comme des marrons
Injectés de sang et fixant l'horizon
Tout en arborant un rictus de sauvageon
Ce n'est pas un doux agneau, ça non!
C'était un Barbare.....
Sale comme une meute de balais tout juste utilisé
Les lévres parsemées de reste de banane grillée
Son corps solide comme un chéne couvert de cicatrices alignées
Il est moche, ont ne peut pas en douter!
C'était un Barbare....
Face a un dieu tout-puissant
Il est resté comme endormis un instant
Puis s'est jeté sur moi en hurlant
Il ne reste rien de lui, qu'estce que c'est navrant....

Thor se déchaine !

En effet!!!

Chaîne

"Un lâche est mort la veille. Il a rejoint les enfers.
Le Viking qui l'a assassiné est mort. Il a rejoint les enfers.
le traître qui a venger le lâche est mort. Il a rejoint les enfers.
L'ours qui a dévorer le traître est mort. Il a rejoint les enfers.
Le chasseur qui a tuer l'ours est mort. Il a rejoint les enfers.
Le monstre qui a avaler le chasseur est mort. Il a rejoint les enfers.
Le dieu qui a vaincu le monstre n'est pas mort. Sa réputation n'est plus a faire."

Nord j'adore



"Nord j'adore, comtempler tes plaines d'or"

"Tes flocons qui tombe dans le couchant, tel des faucons blancs"

"Emerveille mon esprit guerrier, me donne envie de trucider"

"Des elfes élancés, qui n'aurait jamais du quitter leurs forêts"

"Dans un décor inquietant, armé jusqu'au dents"

"Je met fin a la vie, de ceux qui t'on insulté ainsi"

L’Horoscope des Etoiles

CHAPITRE 1 : LE SCORPION

Je me nomme Maria Luzula et j’ai 19 ans. J’habite au 37 rue du Zodiaque, à Nantes. Mon signe est celui de la Vierge. Et je suis terrifiée. Ceci est mon journal intime, que j’ai décidée de rédiger suite aux conseils d’un ami. Un ami inhabituel. Mais commençons par le commencement. Le jour ou tout ça a débuté. C’était une chaude journée d’été, et il valait mieux pour moi que je prenne ma crème solaire pour partir au travail. Oui, j’ai un travail. Je suis employée dans la boulangerie-Pâtisserie non loin de chez moi. Ma patronne s’appelle Carla Rodford, une horrible vieille femme qui ressemble plus a un crapaud qu’a autre chose. Elle ne fait qu’hurler après ses employés et ses clients à longueur de journée. Son mari, Bob Rodford, est beaucoup plus gentil mais doit à chaque fois subir la tyrannie de sa femme. Elle me tape sur les nerfs celle-là. C’est d’ailleurs à cause d’elle que j’ai fait le premier pas vers le malheur. Je venais alors de sortir chez moi, équipée pour la journée. Je ne me considère pas comme une jolie jeune femme, mais je suis tout de même assez contente de mon apparence. Mes cheveux sont bruns et coupés courts, juste au niveau de mon coup. Je n’ai jamais aimé que mes cheveux gênent mes mouvements. Je suis assez mince, même si je mange comme une ogresse, avec une peau légèrement halé et des lèvres pulpeuses. Ma poitrine n’est ni trop avantageuse, ni trop petite. Malgré ça, je n’avais pas encore rencontrée l’homme qui ferait battre mon cœur à ce moment là.

Donc, je disais que je venais de sortir de ma maison, ou plutôt de la maison de ma tante, avec qui je vivais seule. Je m’étais habillé avec un débardeur court et un short également court. Je plissais les yeux sous les rayons brulants du soleil. C’est qu’il y faisait vraiment chaud en été. Espérant trouver un peu de fraicheur à la boulangerie-Pâtisserie, je me mis en route. La chaleur n’était que plus étouffante à mesure que j’avançais dans la ville. A cette heure, il n’y avait pas grand monde. Maudissant le soleil, j’arrivais après une demi-heure à la vieille bâtisse de briques rouges qu’était la Boulangerie-Pâtisserie des Rodford. Une vitrine poussiéreuse aux couleurs délavés servait à exposer les nombreuses pâtisseries et viennoiseries que préparer chaque jour les boulangers. Retardant le moment où je devrais voir la pustuleuse Carla, je trainais des pieds. Je franchis enfin la porte et m’immergea complètement dans la mare du Crapaud.

L’atmosphère sentait la pate à pain et la pâtisserie mais une odeur de cigarette emplissait l’air. Un comptoir inoccupé était situé en face de moi, tandis que les fours se trouvait tout au fond, les emplacements a confiseries au centre et les ateliers pas loin vers la droite. Justement, à ces ateliers étaient attablé plusieurs de mes collègues qui travaillaient avec minutie. Ils ne levèrent même pas les yeux de leur ouvrage à mon approche, de peur de s’attirer les foudres de Carla. Sauf Benoit, un vieil ami, qui m’adressa un sourire radieux et un signe de la main. Lui rendant son signe, je tournais sur moi-même, me heurtant à un ventre imposant. Levant la tète, je croisais le regard remplis de haine de Carla Rodford qui fumer justement un énorme cigare. Son visage hideux, son double menton grassouillet et son gros bouton sur la lèvre supérieure n’étaient pas beau à voir.

<< Tu es en retard !!!! Tu devais être là à 9HOO ! >> Tonna-t-elle d’une voix de basse.

<< Il est seulement 9H03, ce n’est pas un drame…. >> Répondit-je, lassée de toute ses disputes avec ma Patronne.

<< Petite effronté, sache que les vraies travailleuses sont ponctuelles ! Va donc remplacer Antoine et Paul avant que je ne change d’avis et t’envoient nettoyer la vitrine de fond en comble ! >>

<< Elle en aurait bien besoin….. >> Ne put-je m’empêchais de murmurer.

Heureusement, Carla n’avait pas entendu et repartais déjà a son poste tenir le comptoir. Je soupirais, puis partis prendre mon tablier posé sur un meuble que j’enfilais rapidement, sous l’œil globuleux de la Patronne. Je savais ce que je devais faire, je savais ce qu’était mon boulot, je savais ce qui allait se passer au fil de la journée et pourtant ce n’était pas ce que j’attendais. Je pris bientôt place prés de Benoit tandis qu’Antoine et Paul se dépêchèrent de filer. Machinalement, je modeler la pate avec un rouleau de pâtisserie. Je répétais ce geste pendant plusieurs minutes dans le silence oppressant. Quelques clients venaient parfois, faisant rapidement leurs achats et partant aussi vite qu’ils étaient venus. Carla passait parmi nous, examinant nos œuvres. Nous n’étions que cinq à faire cela, deux autres assistants étaient aux fours tandis que Bob Rodford, le mari de la Patronne, était a l’arrière-boutique. Benoit termina de submerger son gâteau de crème fouetté tout en disposant une cerise bien rouge sur le dessus puis il se pencha en avant comme si il voulait en voir les moindres détails.

<< Tu sors avec George, Anna, Brice et moi ce soir ? Ont organisent une sortie au ciné. >> Chuchota mon ami pour ne pas se faire repérer par le Crapaud.

<< Je suis dispo donc ça ne pose aucun problème. >> Dit-je sur le même ton en prenant un moule en forme d’étoile pour commençais à faire plusieurs petites étoiles de pates.

Benoit me sourit une nouvelle fois, signe qu’il était content. Je laissais mon regard errer vers la vitrine, regardant la rue inonder par le soleil. Elle était déserte. Personne n’avait osé sortir de chez lui avec cette chaleur. Un détail attira mon attention. Une tache noire sur le trottoir. A y voir de plus prés, c’était un scorpion. Mais c’était absurde, les scorpions ne vivait pas en France. C’était ridicule. Mes yeux devaient me jouer des tours. La bestiole était immobile. Mes yeux étaient comme hypnotisé par ce Scorpion. Celui-ci se mit à enfler. Oui, il s’était mit à enfler ! A grandir. Il atteignit bientôt la taille d’un gros chien. Je devais faire un mauvais rêve. Oui, c’était ça, un mauvais rêve ! Les autres n’avaient rien remarqué, trop occupé par leurs travaux. Même Carla, qui lisait un magazine, n’avait encore rien vu. Je me frottais les yeux, convaincus que la vision allait disparaître mais non. Elle était toujours là. Le Scorpion avait maintenant la hauteur d’un humain. Puis, il disparut. Soudainement, comme ça. C’était à n’y rien comprendre. A la place, un jeune homme tout à fait normal apparut, vêtu d’un smoking aussi noir que l’avait été le scorpion. Je n’eus même pas le temps d’enregistré les détails de son visage car il s’enfuit a l’autre bout de la rue et disparut une nouvelle fois.

<< Maria, ça va ? Tu n’a pas l’air dans ton assiette. >> Me demanda Benoit comme si il ne s’était rien passer.

Je ne répondis pas. C’était étrange. Trop étrange. Prit de malaise, je me lever brusquement. Benoit et les autres me regardèrent comme si j’étais devenu folle. Normalement, j’aurais bien du savoir que l’horrible Carla détesté que l’on face cela. Et généralement, la punition se solder par une réduction de salaire et une affectation au nettoyage de la vitrine. Mais j’avais oublié ça. Je n’avais plus qu’une chose en tète : Savoir ce qui venait de se passer. J’enlevais mon tablier et le jeta sur le sol puis fit un pas vers la sortie mais Carla n’allait pas me laisser m’enfuir. Elle me barra la route de son imposante carcasse et me toisa. Un silence tendu s’installa entre nous deux. Bob Rodford rentra dans la pièce puis stoppa devant la scène. Je lui jeter un regard suppliant, le pressant de désamorcé la bombe qui allait exploser. Bob prit donc les choses en main, malgré la peur que lui inspirait son épouse.

<< Euh… Chérie, tu vois bien que Mademoiselle Luzula n’est pas dans son état normal. Donne-lui sa journée, je t’en prie. Il reste amplement de mains pour satisfaire les clients. >> Risqua-t-il.

Carla ne prononça pas un mot. Elle me fixer toujours, et l’espace d’un instant je crus qu’elle allait me gifler. J’étais moi-même à deux doigts de le faire. Un frisson inhabituel traversa mon corps, et je sentis comme une sorte d’énergie m’envahir. C’était…. Etrange. L’impression n’était pas désagréable, loin de là. Je n’avais toujours pas quitté Carla des yeux. Soudain, Celle-ci écarta son énorme carcasse, comme en transe. J’étais surprise. Cette réaction était inhabituelle, aussi inhabituelle que le reste. La peur me prit peu à peu, et je me précipitais dehors, ignorant les appels de Benoit. Je continuer de courir sans m’arrêter jusqu’ace que j’arrive a la maison de ma tante, Essoufflée. Avant d’entrer à l’intérieur, je me retournais, essayant de distinguer quelqu’un a travers la chaleur ambiante. Je crus apercevoir la silhouette d’un scorpion, mais c’était surement mon imagination. C’est ce que je pensais à ce moment là…….

CHAPITRE 2 : UN GRENIER CACHE TOUJOURS UN SECRET

Je m’engouffrais à l’intérieur de la maison, cherchant un peu de fraicheur. La porte d’un vert vif claqua derrière mon dos, se refermant sur les mystères. J’humais l’odeur rassurante d’ail qui flottait dans l’air. Si cette maison sentait l’ail dans tous les recoins, C’était que ma tante n’est pas comme toutes les tantes. Elle est tout simplement géniale. Et c’est pour ça que je l’adore. J’avais bien besoin de réconfort à ce moment là, je voulais surtout oublier ce qui venait de se passer. Un roucoulement se fit entendre, et je levais les yeux justes à temps pour voir une boule de plumes blanches se poser sur le haut de mon crâne, accrochant quelques uns de mes cheveux dans ses petites serres. Un sourire s’étala sur mon visage. Cette colombe blanche s’appelait Assia. Je l’avais trouvé dans un buisson quand j’avais 15 ans. Assia était alors avec une aile cassée, et après avoir été rétablit, elle n’a jamais voulut me quitter.

Tranquillement, je continuais ma route comme si de rien n’était et je pénétrais dans la cuisine, Assia toujours sur ma tête. Des gousses d’ails étaient suspendu un peu partout au plafond, tandis qu’un gros chat se prélassait sur la nappe représentant le Zodiaque. Pacha portait bien son nom, il passait son temps à dormir et n’osait même pas bouger d’un poil pour aller chercher sa nourriture. Il avait depuis longtemps renoncé à s’emparer d’Assia, et avait accepté sa place dans cette maison au même titre que la sienne. Ma tante était dos à moi, penché sur la table occupant le centre de la pièce. Elle semblait plonger dans la lecture d’une lettre. Soudain, elle s’exprima toute seule a voix haute, ignorant que sa nièce était rentrée plus tôt.

<< Bon sang ! Pourquoi Scorpio insiste-il encore pour que je lui dévoile tout ? Elle ne mérite ça. Il est ridicule de penser que Cancer pourrait repérer sa trace. Elle n’a même pas encore dévoilé ses pouvoirs. Si Cancer, Pisces, Libra, Leo et Taurus mettent la main sur elle, s’en est finit des étoiles…… Et si Scorpio agit sur les ordres de Cardinal ? On est Mardi aujourd’hui. Non, il ne fera surement pas ça. S’il se montre à ses yeux, ses pouvoirs se déclencheront inopinément. >>

(Pas finish)